Connectez-vous
AFISO
Tout savoir sur le Congrès AFISO 2025


Le CHU UCL Namur - site Dinant - recrute un.e infirmier.e de bloc opératoire

Le CHU UCL Namur - site Dinant - recrute un.e infirmier.e en chef pour son bloc opératoire

Le CHU Tivoli recrute des infirmiers (m/f) bacheliers et/ou spécialisés en soins périopératoires, brevetés pour le quartier opératoire



Depuis 2008 Surgical-help recrute des infirmier(e)s instrumentistes et/ou assistant(e)s opératoires, circulant(e)s et réveil; sous le statut d’indépendant (complémentaire)

MVH Nurse Support recrute des infirmier/es circulant/es et/ou instrumentistes indépendant/es complémentaires

La société Hand4Surgery recherche des instrumentistes indépendants (h/f)


Pour recevoir la newsletter

Une assurance professionnelle avantageuse pour les membres (plus de 50 % de réduction)


LIEN DIRECT VERS LE SITE DE L'EORNA



RECHERCHE









Une solution permet désormais aux professionnels de la santé de réduire le risque de piqûres accidentelles et d'exposition au sang lors de l'insertion d'un cathéter IV périphérique court.  22/01/2012

BD lance le nouveau Insyte™ Autoguard™ BC avec la technologie 'Blood control'

Erembodegem, (2 janvier 2012) - BD (Becton Dickinson and Company), une firme leader à l'échelle mondiale dans le domaine de la technologie médicale, a annoncé le lancement d'un nouveau cathéter I.V. de sécurité. Le BD Insyte™ Autoguard™ BC avec la technologie 'Blood Control' réduit de 95% le risque d'exposition au sang.

La Directive de l'UE (Directive 2010/32/UE du Conseil) a été élaborée pour éviter aux professionnels de la santé les blessures par objets tranchants tels que des cathéters I.V. périphériques et des dispositifs de prélèvement de sang. Ces blessures peuvent en effet provoquer des infections par des germes pathogènes véhiculés par le sang, notamment l'hépatite et le VIH. La Directive, ainsi que des lignes de conduite pour une implémentation précoce provenant d'institutions proéminentes, mentionne spécifiquement l'utilisation de dispositifs médicaux dotés de mécanismes de protection intégrés comme principale mesure préventive.

Lire plus en cliquant ici

La première greffe du visage en Belgique est réussie  09/01/2012

Le Soir - samedi 07 janvier 2012, 20:11
L’université de Gand a réalisé la première greffe du visage en Belgique, il y a quelques semaines. Le patient, à propos duquel aucune information n’a été fournie, se porte bien.
Lire la suite ici ...

ASEPSIE: Le clavier d’ordi qui élimine les virus!  09/01/2012

Bon, il s’agit de germes, de virus ou…de bactéries qui peuvent se glisser « entre les touches » du clavier et d’un dispositif très astucieux, particulièrement adapté aux secteurs où l’asepsie est de mise. Vioguard ™ LLC annonce, au 4 janvier que l’Agence américaine, Food & Drug Administration vient de donner son autorisation à son clavier d'ordinateur Vioguard auto-désinfectant, pour une utilisation en milieu hospitalier.
Lire la suite ...

GREFFES de POUMONS « ex vivo » à New York: Grand espoir pour les receveurs  14/12/2011

Actualité publiée hier par le New York-Presbyterian Hospital

Une technique dite « ex vivo » car elle consiste à évaluer et à reconditionner avec de l'oxygène, des nutriments et des antibiotiques les poumons du donneur avant la transplantation. Cette technique, qui optimise les chances de succès, a été mise en œuvre pour la première fois au New York-Presbyterian Hospital, sur deux patientes, âgées de 59 et 60 ans qui ont reçu une greffe de poumons.

Lire la suite ici

HÔPITAL: Pour garder vos infirmières, améliorez leurs conditions de travail !  09/12/2011

Ces chercheurs de l'Ecole d’Infirmières de l’Université de Pennsylvania rapportent avec cette étude menée sur pas moins de 100.000 Infirmières de 9 pays différents, que la majorité de la profession est « burned out » et insatisfaites de leur travail. Cette grande étude publiée dans l’édition du 9 décembre de la revue International Journal for Quality in Health Care, révèle que 20 à 60% des infirmières de par le monde souffrent de symptômes d’épuisement.

L’étude a collecté des données sur les infirmières de plus de 1.400 établissements pour étudier les effets de l’environnement de travail sur les résultats des établissements.

La proportion d’infirmières qui déclarent un burn out dépasse le tiers dans la plupart des pays et atteint 60% en Corée et au Japon, explique le Pr. Linda Aiken, auteur principal de l’étude, directeur du du Département infirmier de la Penn. Quant à l'insatisfaction au travail, elle varie entre 17% en Allemagne, un tiers dans la plupart des Pays et un maximum d...

Lire l'ensemble de l'article

Introduction de nouvelles recommandations d'injection chez les personnes atteintes de diabète  06/10/2011

Erembodegem, Belgique (7 septembre 2011) – De nouvelles recommandations d'injection destinées aux personnes atteintes de diabète traitées à l'insuline, ont été récemment introduites en Belgique. Ces recommandations ont été publiées dans deux brochures détaillées distinctes, l'une s'adressant en particulier aux professionnels des soins de santé (résumé pratique inclus) et l'autre aux personnes atteintes de diabète, et ont été présentées par BD Medical – Diabetes Care dans le cadre de séminaires à Saint-Nicolas et à Wavre.

Ces nouvelles recommandations nationales ont été définies pour la Belgique par deux groupes de projet locaux flamands et wallons composés d'experts en diabétologie. Elles constituent les conclusions de l'atelier T.I.T.A.N d'Athènes (« Third Injection Technique Workshop Athens ») lors duquel des médecins et infirmiers spécialisés en diabétologie ont formulé des directives internationales sur la base des résultats d'une étude approfondie de la littérature et d'une enquête paneuropéenne sur la technique d'injection. Cette enquête représente l'un des plus grands sondages jamais réalisés sur la technique d'injection de l'insuline à laquelle 171 hôpitaux de 16 pays ont participé, dont 14 en Belgique.

Kenneth Strauss, Directeur médical Europe chez BD, explique : « Des experts en diabétologie de Flandre, Bruxelles et Wallonie ont collaboré pour réaliser un document de consensus remarquable sur les injections d'insuline.

[Cliquez ci-dessous pour accéder au fichier attaché]:attachment/301168/

KCE : Nouveaux traitements des varices: les patients plus vite sur pied ...  04/10/2011

L’opération classique des varices au niveau des jambes est appelée « stripping » mais aujourd’hui, de nouveaux traitements moins invasifs sont également proposés. Un cathéter introduit dans la veine détruit celle-ci par une température très élevée (laser, radiofréquence) ou par l’injection d’un produit chimique (sclérothérapie) sous forme de liquide ou de mousse.

Le Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE) a examiné l’efficacité et la sécurité de ces techniques. Elles ne semblent pas moins efficaces que l’opération classique tout en offrant une meilleure qualité de vie au patient. Pour les effets secondaires, peu d’études scientifiques existent actuellement, surtout lors d’injection de mousse dans la veine. Des incertitudes subsistent également quant aux effets à long terme. Le KCE recommande dès lors le remboursement de ces interventions tout en procédant à un enregistrement des patients afin d’analyser les suites de ces nouveaux traitements. Enfin, peu de données existent quant à l’effet des bas élastiques. Les médicaments ne sont quant à eux pas recommandés pour le traitement des varices.

Cliquez ici pour lire la suite du rapport

Etre indemnisé en cas de dommage médical : toutes les nouveautés!  29/07/2011

Les victimes d'un dommage médical peuvent aujourd’hui être indemnisées par le Fonds des accidents médicaux. La grande nouveauté ? Le patient ne doit plus démontrer la faute du prestataire de soins ! Mais quand le dommage est-il suffisamment grave pour être indemnisé par le Fonds ? Comment introduire une demande ? Dans quels délais l'indemnisation est-elle versée ? Les Mutualités Libres éclairent ce sujet complexe dans leur nouvelle brochure.

Les interventions thérapeutiques se déroulent généralement en toute sécurité pour le patient. Il arrive toutefois que des soins médicaux entraînent des dégâts graves, voire irréversibles, pour la santé. Les victimes d'un dommage médical (4.000 par an environ) peuvent intenter un procès devant le tribunal civil ou chercher un arrangement à l'amiable avec le prestataire de soins, mais ces procédures sont très complexes et ont autant d'avantages que d'inconvénients.

Nouveau : la faute n’est plus à démontrer !
Depuis peu, une nouvelle procédure est d’application en Belgique : pour un dommage médical qui a été causé à partir du 2 avril 2010, les victimes peuvent désormais s'adresser au Fonds des accidents médicaux. Contrairement aux autres procédures, la victime ne doit plus prouver au Fonds que le prestataire de soins a commis une faute. La procédure est en outre gratuite pour le patient.
La nouvelle brochure des Mutualités Libres "Comment être indemnisé en cas de dommage médical ?" propose un aperçu structuré des différentes étapes pour obtenir un dédommagement du Fonds. Elle démêle les aspects juridiques complexes de cette procédure, en les illustrant d’exemples concrets répondant aux questions les plus préoccupantes des patients.

Faire appel à sa mutualité
Les victimes d'un dommage médical ne sont donc pas seules. Au cours de toute la procédure d'indemnisation, elles peuvent compter sur leur mutualité. Qu'il s'agisse d'un arrangement à l'amiable avec le prestataire de soins ou de la procédure auprès du Fonds des accidents médicaux : la mutualité est toujours le conseiller et soutien du patient.

Important: le Fonds des accidents médicaux sera bientôt opérationnel, mais les victimes d’un dommage médical peuvent d’ores et déjà introduire un dossier de plainte auprès de leur mutualité.

Info proposée par www.mloz.be

Implants et autres dispositifs médicaux à haut risque: aucune garantie que l’innovation soit toujours meilleure (KCE)  03/07/2011

Communiqué de presse du Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE)

Les nouveaux dispositifs médicaux à haut risque pour le patient, tel qu’un nouveau type de valve cardiaque ou de prothèse de hanche, arrivent souvent plus rapidement sur le marché européen que sur le marché américain. La raison en est que le fabricant ne doit, en Europe, fournir aucune preuve que ce nouveau dispositif médical aidera le patient, aussi bien ou mieux que le traitement standard. Ainsi, le patient peut avoir accès plus rapidement aux nouvelles technologies, mais est aussi confronté à des risques encore inconnus. Le KCE s’est penché, en collaboration avec d’autres agences européennes similaires, sur le type de résultats de recherche que les fabricants devraient présenter avant d’introduire sur le marché des implants et d’autres nouvelles technologies médicales. A l’heure actuelle, les exigences en termes d’études cliniques sont bien moindres pour ces technologies qu’elles ne le sont pour les médicaments, et les données des essais cliniques sont pauvres ou inaccessibles.

Le rapport recommande que l’efficacité et la sécurité cliniques soient suffisamment démontrées au préalable, de préférence avec des études comparatives de bonne qualité. Les résultats de ces études doivent en outre être accessibles.

Les dispositifs médicaux comprennent des produits comme les aiguilles et les seringues mais aussi les pacemakers, les stents et les prothèses. Nous parlons de dispositifs à haut risque lorsqu’ils comportent un risque pour le patient, par exemple lorsqu’ils sont implantables.

Le label CE n’est pas une garantie d’efficacité clinique
Beaucoup de personnes pensent qu’avant leur entrée sur le marché européen, les dispositifs médicaux à haut risque sont testés lors d’essais cliniques comparables à ceux réalisés pour les médicaments. Il y a pourtant une différence fondamentale. Pour obtenir le label CE de l’Union européenne, et donc l’accès au marché européen, les fabricants des dispositifs médicaux en Europe ne doivent pas prouver l’efficacité clinique de leur produit, ni démontrer que le patient se portera mieux grâce au dispositif. Ce type de preuve est normalement apporté par une étude comparative de haute qualité (étude contrôlée randomisée). Aux Etats-Unis, ce type d’étude est exigé, ce qui implique que les produits doivent attendre plus longtemps avant de pouvoir être commercialisés.

De plus, dans la plupart des cas, les fabricants ne publient pas le peu de résultats cliniques disponibles. Comment un médecin peut-il alors correctement informer son patient ? Le patient européen a donc un accès plus rapide aux nouvelles technologies, mais sans preuve de leur efficacité clinique, et parfois au prix de risques sérieux.

Contribution financière du patient
De plus, les instances qui, dans les Etats Membres, décident du financement ou du remboursement des nouvelles technologies et des dispositifs médicaux, conditionnent de plus en plus leur décision à la démonstration de l’efficacité clinique du produit. Si de telles preuves font défaut, beaucoup de temps peut s’écouler entre la mise sur le marché d’un dispositif et la décision de remboursement. Entretemps, le patient doit débourser une somme souvent importante, alors même que le nouveau dispositif n’est peut-être pas le meilleur choix sur les plans de l’efficacité et de la sécurité.

Aucun contrôle direct de l’Europe ou des Etats Membres
L’évaluation d’un dispositif médical n’est opérée qu’une seule fois pour l’ensemble du marché européen et n’est pas réalisée par les instances européennes ou celles de leurs Etats Membres. Le label CE est apposé par le fabricant lui-même. L’un des 80 Organismes Certifiés (Notified Bodies) s’assure que les directives européennes sont respectées. Ces Organismes Certifiés sont choisis librement par le fabricant. Certains organismes sont moins sévères que d’autres. A leur tour, ils sont contrôlés par les Autorités Compétentes. En Belgique, cette deuxième instance fait partie de l’Agence Fédérale des Médicaments et des Produits de Santé ou AFMPS. D’autres pays ont recours à des instances séparées ou n’en disposent pas pour les dispositifs médicaux.

Nouvelle Directive Européenne en préparation
En Europe, un contrôle plus strict et mieux standardisé est nécessaire, grâce à une meilleure organisation qu’actuellement ou, peut-être encore mieux, grâce à une centralisation au niveau européen. De plus, un accès public aux résultats des études est essentiel. La refonte des Directives Européennes devrait tenir compte de ces impératifs.

Les instances responsables du remboursement pourraient envisager de contribuer financièrement à la conduite de ces études, souvent coûteuses, comme c’est le cas aux Etats-Unis. De cette manière, les petites entreprises innovantes ne seraient pas pénalisées par des investissements trop lourds.

Mesures transitoires dans l’attente de la nouvelle Directive
Dans l’attente de la nouvelle Directive sur les dispositifs médicaux, le risque encouru par les patients devrait être réduit autant que possible. L’utilisation des nouveaux dispositifs médicaux à haut risque pour lesquels peu de résultats d’études sont connus, devrait être réservée aux centres ayant une expertise suffisante, de préférence dans le cadre d’études de haute qualité. Ceci exige l’implication des Autorités Compétentes, des entreprises commerciales, des médecins et des hôpitaux. Les problèmes éthiques causés par l’introduction anticipée des dispositifs médicaux sur le marché doivent aussi faire l’objet d’un examen approfondi.

De plus, il reste nécessaire de suivre activement et pendant une période suffisamment longue après la mise sur le marché, les complications qui ne se manifestent que rarement ou après un long délai.

Le rapport est disponible sur le site internet du KCE: Evaluation clinique des dispositifs médicaux innovants à haut risque avant leur mise sur le marché

Pour plus d’information et/ou des interviews, contacter:

Gudrun Briat
Responsable de la communication
Doorbuilding, Boulevard du Jardin Botanique 55, 1000 Bruxelles
Tél: 02 287 33 54, numéro de GSM : 0475/27.41.15, e-mail : press@kce.fgov.be
website : http://kce.fgov.be[

Comme quoi il vaut mieux ne pas dormir sur son lieu de travail quand on est infirmière ou aide-soignante !  03/07/2011

Licenciement abusif ? Non, dit le juge du tribunal du travail - Les aides-soignantes dormaient ! Elles devaient assurer le travail de nuit dans un home de Tihange. Elles ont été virées !

Les faits sont anciens mais viennent seulement de trouver un épilogue devant le tribunal du travail de Huy.

Nous sommes le 11 août 2003. Quelques jours auparavant, le directeur de la maison de repos et de soin les Floricots à Tihange entend dire que certaines de ses aides-soignantes dorment la nuit au lieu de travailler. Pour en avoir le cœur net, il décide d'aller constater sur place.

Ce 11 août 2003 donc, vers 2 heures du matin, il se rend discrètement dans l'établissement. Deux aides-soignantes sont en principe de garde. Après les avoir cherchées à la cuisine et partout ailleurs, il se rend dans le salon. Là, il tombe sur Catherine. " Je suis resté à 3 mètres d'elle, assis sur une chaise pendant trois quarts d'heure afin qu'elle ne puisse pas dire qu'il s'agissait d'une pause d'une demi-heure. J'imagine qu'elle dormait car elle ne m'a pas entendu entrer ni m'installer. Je suis arrivé sans faire de bruit. À 2 heures 45, j'ai allumé la lumière et elle s'est éveillée et a dit: " Oh, Monsieur! ” Je lui ai demandé où se trouvait sa collègue. Elle a refusé de me le dire ”.

Mais sur l'insistance du directeur, elle finit par indiquer que Patricia se trouve au 1er étage, dans un lit. Il monte. "Au moment où je suis entré, elle s'est levée. Je leur ai dit qu'il était inadmissible de dormir durant le service ”. Toutes deux ont été licenciées, avec indemnités de préavis. Ces deux aides-soignantes devaient prester de 19 h 40 à 7 h et devaient accomplir toute une série de tâches: préparation du petit-déjeuner, nettoyage des pièces, mais surtout effectuer trois tours de garde, répondre aux appels sonnette et intervenir en cas de problème. Personne ne dit qu'elles n'ont pas fait leur travail mais... elles dormaient.

Catherine, qui estime qu'il s'agit d'un licenciement abusif, a cité les Floricots au tribunal du travail. Elle réclame 12.877,44 € à la maison de repos. Elle estime qu'elle s'était simplement assoupie dans le divan, qu'elle faisait une pause, car il faisait très chaud cette nuit-là...

Mais sa demande a été rejetée. Le juge Maréchal estime " qu'elle n'exécutait pas normalement sa prestation de travail, selon la bonne foi et la conscience professionnelle propres à ses obligations contractuelles”. Le tribunal estime que la direction des Floricots n'a pas agi de façon brutale et imprudente en licenciant Catherine. Elle qui espérait une indemnité de ce procès devra débourser 687,50 € pour indemnité de procédure. Précisons qu'elle est toujours dans le délai pour faire appel de cette décision.

F. DE H.

La Meuse - Huy Waremme, 23/06/2011, page 6

La CRT en cas d’insuffisance cardiaque grave : un dilemme pour les médecins  08/01/2011

Communiqué de presse du Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE)

Mise au point il y a une dizaine d’années, la thérapie de resynchronisation cardiaque (CRT) s’adresse aux patients atteints d’insuffisance cardiaque. Il s’agit d’un traitement particulier qui stimule la fonction de pompe du cour au moyen d’une sorte de pacemaker. Annuellement, environ 530 appareils CRT sont implantés chez de nouveaux patients belges. Ce chiffre est encore appelé à augmenter dans le futur. L’INAMI a demandé un avis au Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE) avant de se prononcer sur le remboursement intégral de ce traitement.
Le KCE estime que la CRT diminue le nombre de décès ainsi que le nombre d’hospitalisations chez les patients insuffisants cardiaques. Toutefois, il n’est pas démontré que l’appareil le plus cher (21.000 €) fonctionne mieux que le moins cher (7.000€). L’implantation est techniquement difficile et est suivie de problèmes sérieux chez 1 patient sur 5. Le KCE recommande dès lors d’autoriser les implantations uniquement dans les hôpitaux qui réalisent au moins 20 interventions par an.

Pour en lire plus, cliquez ici !

Enregistrement Aide-soignant pour les étudiants en soins infirmiers - 01.07.2009  16/08/2009

Vous êtes étudiant en art infirmier et vous souhaitez exercer un job de vacances comme aide-soignant? Vous avez alors besoin d’un enregistrement d’aide-soignant.

Tout étudiant qui a réussi la première année en Art infirmier peut obtenir un enregistrement définitif en tant qu’aide soignant.

Vous pouvez demander cet enregistrement facilement au moyen du formulaire de demande d’enregistrement comme aide-soignant. N’oubliez pas d’ajouter la preuve de réussite en 1ère année d’Art infirmier et une copie de votre carte d’identité.

Vous envoyez ces documents par courrier adressé à l’adresse suivante:

SPF Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et Environnement
DG Soins de Santé primaires & Gestion de crise
Service des Personnels de Santé
Enregistrement des aides-soignants
A l’attention de Mr Thijs Lammertyn (bureau 02D010)
Place Victor Horta 40 boîte 10
1060 Bruxelles

Vous pouvez aussi remettre personnellement les documents à l’accueil au rez-de-chaussée. Dans la rubrique "plan d'accès au SPF", vous trouverez des informations sur l’accessibilité du bâtiment.

Si vous voulez exercer un job étudiant comme aide-soignant pendant les congés d’été 2009, vous devez introduire votre demande pour le mardi 7 juillet 2009 au plus tard.

Dès que nous aurons reçu votre demande complète, nous vous enverrons un accusé de réception qui vous permettra de travailler comme aide-soignant. Vous recevrez le visa et l’attestation d’enregistrement définitif plus tard.

Lien vers le site du Ministère

Le théâtre des opérations  16/02/2009

Le théâtre des opérations
Le film a été présenté à Brest le 6 février 2009.
Un débat a suivi en présence du réalisateur, de Eric Stindel, chirurgien orthopédiste au CHU de Brest et de Claudie Haxaire, Maître de Conférence à l’Université de Bretagne Occidentale , anthropologue de la santé.
Extraits et dossier de presse sur : http://www.letheatredesoperations.fr/

Bienvenue au bloc opératoire, approchez vous de ce qui vous fait peur, au plus près des mécaniciens de la vie, les « dieux », les chirurgiens ! Chirurgien, un métier pour lequel personne ne serait constitutionnellement fait. Héros! De l'angoisse et des responsabilités... Allez, approchez vous, voyez simplement ce qu’on attend du chirurgien en devenir.
Les images sont justes, réelles, belles, tellement proches de notre quotidien, simplement revêtues d'une musique grave, soulignant l’espoir de guérison ou l’horizon de mort qui caractérise l’activité chirurgicale.
Nos pratiques sont disséquées en plans fixes, choisies. Voici une face cachée du monde des blocs opératoires, froids, exigeants. Les témoignages qui ponctuent le film sont remarquables et parfois cinglants. L’ambiance y est assez tendue, loin de l’esprit carabin, et des idylles à paillettes des Grey's Anatomie. Place aux choses sérieuses donc.

Nicolas Le Verge, ibode, CHU de Brest.

info/contact: nicolas.leverge@chu-brest.fr

Une recommandation nationale de bonne pratique pour la prise en charge du cancer du pancréas  16/02/2009

Le Collège d'Oncologie, le Centre fédéral d'expertise des soins de santé (KCE) et le SPF Santé Publique développent ensemble depuis plusieurs années des recommandations de bonne pratique pour la prise en charge des patients atteints d'un cancer. Après le cancer colorectal, le cancer de l'osophage et de l'estomac et le cancer du sein, c'est maintenant au tour du cancer du pancréas. Les chances de survie des patients atteints de ce cancer sont minimes, ce qui justifie l'attention particulière accordée aux soins palliatifs, à la prise en charge de la douleur et au support nutritionnel des patients.

Lire la suite ici

RISQUES CHIRURGICAUX : Une liste de contrôle peut réduire d'un tiers les décès  21/01/2009

RISQUES CHIRURGICAUX : Une liste de contrôle peut réduire d'un tiers les décès
Un ensemble d’hôpitaux de huit villes de différents pays a démontré que l’emploi d’une liste de contrôle simple, mise au point par l’Organisation mondiale de la Santé, pour les interventions majeures permet de réduire d'un tiers l’incidence des décès et des complications chirurgicales. Cette étude est publiée sur le site du New England Medical Journal
Lire plus sur le site de l'OMS

Infirmières : 200 millions d'€ ! - La ministre de la Santé, Laurette Onkelinx, lance une grande réforme du métier qu'elle veut plus attractif pour les jeunes  05/10/2008

BRUXELLES

Si l'actualité médicale de ces derniers jours a été centrée sur le numerus clausus et les reçus-collés liégeois, le métier de médecin n'est pas le seul en pénurie. "Nous devons faire face à une très grande pénurie dans le secteur des infirmières. C'est pour cela que je tiens à mettre sur pied un ambitieux plan de relance de la profession”, explique la ministre de la Santé, Laurette Onkelinx (PS). "Nous lançons pour cela sur 5 ans un investissement de 200 millions d'€ en faveur de la sensibilisation au métier d'infirmière. On souhaite aussi soutenir la consultation infirmière. Cela permettrait à une infirmière de faire une fois par an le bilan du patient en termes de besoins infirmiers.”
La ministre ne cache pas en outre sa volonté d'encourager les soins qui améliorent le maintien à domicile. "Nous allons lancer une campagne de promotion du métier d'infirmière au printemps 2009. Parallèlement, en 2009, nous allons procéder à un financement structurel des associations professionnelles infirmières.”
165.000 infirmières bossent chez nous dont 25 % d'hommes.
Actuellement, on compte 165.000 infirmières en Belgique dont 60.000 dans les hôpitaux et 14.500 dans les maisons de repos et de soins. "En réalité, il n'y a que 100.000 à 120.000 infirmières qui travaillent réellement. Cela pose donc un problème. À noter que proportionnellement, on compte 25 % d'hommes”.
Les hôpitaux vont être aidés : "Nous allons faire passer la norme par 30 lits qui est de 18,8 ETP, équivalent temps plein, à 19,8 ETP. Cela permettra l'engagement de 2.303 personnes. C'est réalisé dans le cadre du plan 2005- 2010.”
Elle salue aussi les initiatives qui fonctionnent bien : "Nous allons relancer les formations. Elles connaissent un beau succès puisque nous pouvons compter 600 personnes en formation chaque année. Notre volonté est de dégager 19 millions d'€ de manière annuelle.”
Pour lutter contre la pénibilité du travail, elle annonce que des efforts vont être faits pour les investissements à caractère ergonomique. Un exemple ? La généralisation des équipements comme les lits électriques.
Enfin, elle ne cache pas qu'elle souhaite une certaine harmonisation des types d'études : "À terme, il faut savoir que l'Union européenne limitera la reconnaissance et la libre circulation aux bacheliers (sans doute en 2010). Il y a donc là un défi tout aussi grand que celui de la formation permanente qui est indispensable pour un métier comme celui-là.”
À noter que les pratiques de groupe avec des médecins ou des pharmaciens seront intensifiés.
Revaloriser le salaire !
Le salaire des infirmières devrait être revalorisé. Pour l'instant, un infirmier gagne après 27 ans de service 36.860 € bruts et un infirmier en chef 50.120 €. À noter que les infirmières reçoivent des primes pour le travail de nuit (environ 125 € suivant les hôpitaux) ou de week-end (environ 200 € suivant les hôpitaux). La ministre de la Santé, Laurette Onkelinx, veut aller plus loin : "La continuité des soins exige un nombre élevé de prestations horaires dans des plages qui limitent les activités familiales et sociales et qui engendrent des coûts supplémentaires. La pénibilité ne se situe pas que sur ces créneaux horaires-là. Je souhaite que l'on revalorise aussi les prestations de soirées situées entre 18 h et 22 h et les prestations matinales de 6 h à 7 h.”
La ministre prévoit aussi une valorisation des titres et qualifications particulières : "Nous avons de plus en plus besoin d'infirmières spécialisées en cancérologie ou diabétologues ou encore dans la problématique du vieillissement. Ma volonté est de mettre en place une hausse de salaire entre 5 et 10 % de l'échelle barémique actuelle selon des modalités à négocier.”
Enfin, elle prévoit de dégager 16,3 millions d'€ sur base annuelle pour l'informatisation du volet infirmier du dossier du patient.
V. Li.
La Dernière Heure, 29/08/2008, page 7

NOSO-INFO de l'Association Belge pour l'Hygiène Hospitalière en ligne  20/05/2008

Dans ce numéro du premier trimestre 2008, l'Association Belge pour l'Hygiène Hospitalière traite de la part de l'environnement dans les infections nosocomiales, de l'utilité ou pas des contrôles microbiologiques de l'environnement, des risques d'infection post-opératoire de la plaie après une chirurgie mammaire, ...
Pour en savoir plus, téléchargez Noso-Info

Les claviers d'ordinateurs, nids à bactéries (Lu dans L'Express)  17/05/2008

Les claviers d'ordinateurs peuvent abriter plus de bactéries dangereuses pour la santé que la moyenne des sièges de toilettes, selon une enquête scientifique britannique publiée jeudi 1er mai.

Le magazine de consommation Which? Computing a demandé à un biologiste d'examiner au microscope plus de 30 claviers dans un bureau londonien représentatif.

Le chercheur "a trouvé que certains abritaient des bactéries qui présentaient un risque élevé de rendre malade leur utilisateur", peut-on lire sur le site Internet du magazine

Cinq fois plus sale qu'un siège de toilettes
Sur cet échantillon, quatre claviers étaient dangereux pour la santé et le biologiste est allé jusqu'à demander le retrait immédiat de l'un d'eux qui était "cinq fois plus sale qu'un siège de toilettes" analysé pour fournir une comparaison.

Le clavier le plus sale dépassait de 150 fois la limite pour le nombre de bactéries néfastes.

Les bactéries trouvées sur ces claviers pouvaient notamment causer des symptômes d'intoxication alimentaire, a indiqué le biologiste.

Les restes alimentaires en cause
"La principale cause de l'infection d'un clavier est le fait de déjeuner à son bureau, puisque les restes alimentaires sont propices au développement de millions de bactéries. Une mauvaise hygiène personnelle, comme de ne pas se laver les mains après être allé aux toilettes peut aussi être en cause", relève le magazine.

Une personne sur dix avoue ne jamais nettoyer son clavier et 20% ne jamais nettoyer sa souris, selon un sondage par Internet réalisé par Which? Computing auprès de plus de 4 000 personnes.

"Manger son repas sur des toilettes"
Plus de la moitié du panel a reconnu nettoyer son clavier moins d'une fois par mois.

"La plupart des gens ne pensent pas à la saleté qui s'accumule sur leur PC, mais si vous ne nettoyez pas votre ordinateur, cela revient à manger votre repas sur des toilettes", avertit Sarah Kidner, rédactrice en chef de Which? Computing qui conseille à ses lecteurs de faire un ménage de printemps.
lexpress.fr

Mdéon : L'Agence Fédérale des Médicaments et des Produits de Santé a défini les relations entre professionnels de la santé et l'industrie des médicaments et des dispositifs médicaux  26/11/2007

Une réflexion s'est engagée il y a quelque temps déjà au sujet des relations entre l'industrie du médicament ou des dispositifs médicaux et les professionnels de la santé, en particulier à
propos de l’offre de primes et avantages.
Lire la suite en cliquant ici !
Accédez au règlement d'Mdéon ici

Le Centre de Coordination de lutte contre les infections nosocomiales du Sud-Ouest (France) a édité des recommandations pour l'entretien des blocs opératoires  28/10/2007

Le bloc opératoire est constitué d’un ensemble de locaux spécifiques dédiés aux
interventions chirurgicales et au réveil des patients, concourant ainsi à la limitation du
risque de survenue d’une ISO. Ces locaux constituent des zones à risque pour
lesquelles des niveaux de qualité microbiologique doivent être atteints concernant l’air,
l’eau et les surfaces.
La part prise par la contamination* des surfaces dans la genèse des ISO est difficile à
apprécier, cependant, des ...

Lire la suite sur le site internet du CClin Sud-Ouest

1 ... « 6 7 8 9 10 11