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15 février - Formation WASI à Namur
Le CHU UCL Namur - site Dinant - recrute un.e infirmier.e en chef pour son bloc opératoire
Le CHU UCL Namur - site Dinant - recrute un.e infirmier.e de bloc opératoire
Le CHU Tivoli recrute des infirmiers (m/f) bacheliers et/ou spécialisés en soins périopératoires, brevetés pour le quartier opératoire
Le Département infirmier du CHIREC recherche pour le site hospitalier de Delta un infirmier en stérilisation (h/f/x)
Randstad Interim recherche des (h/f) infimiers de bloc opératoire pour la région de Verviers/Heusy, la région de Namur, la région de Liège et la région de Huy
MVH Support recrute des infirmier/es circulant/es et/ou instrumentistes indépendant/es complémentaires
La société Hand4Surgery recherche des instrumentistes indépendants (h/f)
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Le CHU Tivoli recrute des infirmiers (m/f) bacheliers et/ou spécialisés en soins périopératoires, brevetés pour le quartier opératoire
Depuis 2008 Surgical-help recrute des infirmier(e)s instrumentistes et/ou assistant(e)s opératoires, circulant(e)s et réveil; sous le statut d’indépendant (complémentaire)
MVH Nurse Support recrute des infirmier/es circulant/es et/ou instrumentistes indépendant/es complémentaires
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Les hôpitaux de Marseille en manque d’instruments stérilisés 14/06/2018
Les chirurgiens dénoncent les délais jugés trop longs de stérilisation des instruments chirurgicaux, qui entraînent parfois la déprogrammation d’interventions.
Lire la suite sur www.lemonde.fr Prendre du Paracétamol n'est pas sans risques ! 08/06/2018
Ces derniers temps, le paracétamol est assez souvent en ligne de mire. En soi, ceci n’est pas tellement surprenant pour un médicament si souvent utilisé et très bon marché. Dans le présent numéro, nous abordons la prise en charge des douleurs lombaires, où la place du paracétamol semble très limitée. La perception de la douleur est une donnée complexe, et les douleurs liées à l’arthrose ou les douleurs lombaires ne sont pas des concepts clairement définis avec un lien de causalité uniforme entre l’affection et la douleur, ou avec un mode de présentation fixe. Ceci entrave fortement les études sur l’efficacité des analgésiques dans ce groupe hétérogène de patients. Le traitement de la douleur ne se réduit certainement pas à sélectionner un analgésique, il convient également d’évaluer consciencieusement la possibilité/la nécessité/le souhait d’un traitement médicamenteux antidouleur, en plus du type de douleur, tout en prenant en compte les effets indésirables associés au médicament choisi. Même dans l’(auto-)gestion des douleurs dentaires, il importe d’être vigilant quant au risque d’intoxication au paracétamol.
Le souhait de se débarrasser d’une douleur dentaire intense entraîne parfois une surconsommation d’analgésiques. Par ailleurs, le patient ne se rend pas toujours compte que plusieurs préparations peuvent contenir du paracétamol et qu’un surdosage peut s’avérer dangereux. À cela s’ajoute le fait que l’intoxication au paracétamol peut rester asymptomatique assez longtemps alors qu’elle nécessite une prise en charge immédiate. Le médecin (dentiste) et le pharmacien doivent donc être vigilant quant à l’intoxication potentielle d’un patient souffrant de douleurs (dentaires) intenses et qui a déjà pris plusieurs analgésiques. Folia Pharmacotherapeutica est publié sous l'égide et la responsabilité du Centre Belge d’Information Pharmacothérapeutique a.s.b.l. agréée par l’Agence Fédérale des Médicaments et des Produits de Santé (AFMPS) "La Macarena" peut sauver des vies en rythmant le massage cardiaque 06/06/2018
"La Macarena" peut sauver des vies, ont affirmé samedi des chercheurs espagnols, qui conseillent de se caler sur le rythme de ce vieux tube de l'été au moment de pratiquer un massage cardiaque.
Lire la suite sur le site de rtbf.be Modification du système des primes pour qualifications professionnelles dans le secteur infirmier 03/04/2018
Par Sarah Delafortrie, Christophe Springael
Publié le 23/03/2018 Appartient au Conseil des ministres du 23 mars 2018 Sur proposition de la ministre des Affaires sociales et de la Santé publique Maggie De Block et du ministre de l'Emploi Kris Peeters, le Conseil des ministres a approuvé un projet d'arrêté royal relatif au plan d’attractivité pour la profession infirmière en ce qui concerne les primes pour des titres et qualifications professionnels particuliers et les prestations inconfortables. L’arrêté royal du 28 décembre 2011 a mis en place le financement d’une prime annuelle aux infirmiers agréés pour un titre ou une qualification professionnels particuliers qui répondent à certaines conditions. Il s’applique aux infirmiers travaillant dans un hôpital, dans un service agréé, dans une fonction agréée ou dans un programme de soins agréé qui prévoit cette spécialisation ou dans une maison de repos pour personnes âgées ou une maison de repos et de soins. Or, depuis la sixième réforme de l’Etat, seuls les hôpitaux sont restés de compétence fédérale. L’accord social du secteur privé signé le 25 octobre 2017 prévoit, entre autres, la mise en oeuvre progressive des nouvelles classifications sectorielles de fonctions de l’Institut de classification de fonctions et d’un nouveau modèle salarial pour les services fédéraux des soins de santé. La convention collective de travail du 11 décembre 2017 détermine toutes les mesures nécessaires afin de réaliser une introduction phasée, à partir du 1er mai 2018, des nouvelles échelles salariales. Les futurs barèmes applicables dans les établissements du secteur privé intégreront dès lors les primes pour les agréments pour titre et qualification professionnels particuliers (TTP/QPP). Le projet est transmis pour avis au Conseil d'Etat. Projet d'arrêté royal modifiant l’arrêté royal du 28 décembre 2011 relatif à l’exécution du plan d’attractivité pour la profession infirmière, dans certains secteurs fédéraux de la santé, en ce qui concerne les primes pour des titres et qualifications professionnels particuliers et les prestations inconfortables Réseaux cliniques entre les hôpitaux 03/04/2018
Par Sarah Delafortrie, Christophe Springael
Publié le 30/03/2018 Appartient au Conseil des ministres du 30 mars 2018 Sur proposition de la ministre des Affaires sociales et de la Santé publique Maggie De Block, le Conseil des ministres a approuvé un avant-projet loi sur la formation de réseaux entre les hôpitaux. L'avant-projet a pour but de créer un cadre légal dans lequel les hôpitaux devront collaborer au sein de réseaux cliniques locorégionaux. Ces réseaux seront chargés des missions suivantes :
Les principales autres dispositions de l'avant-projet sont les suivantes :
L'avant-projet aborde également la gouvernance de ces réseaux. Ceux-ci doivent être créés au plus tard le 1er janvier 2020. L'avant-projet est transmis pour avis au Conseil d'Etat. Avant-projet de loi modifiant la loi coordonnée du 10 juillet 2008 sur les hôpitaux et autres établissements de soins, en ce qui concerne les réseautage clinique entre hôpitaux Recommandations en matière de gestion du textile dans les institutions de soins (février 2018) (CSS 9444) 03/03/2018
Révision des recommandations en matière de traitement du linge des institutions de soins aigus (CSS 8075).
Dans cet avis scientifique sur la politique en matière de santé publique, le Conseil Supérieur de la Santé de Belgique émet des recommandations en matière de gestion du textile dans les institutions de soins. Cet avis vise à mettre à la disposition des buanderies externes et internes des recommandations spécifiques en matière de gestion du textile de sa collecte au niveau des institutions de soins à son retour (au sein des institutions de soins), en passant par la buanderie. A télécharger ici Profil professionnel et de compétences de l'assistant de soins 28/02/2018
Le Conseil Fédéral de l’Art Infirmier (CFAI) a publié, le lundi 26 février, son avis concernant le “Profil professionnel et de compétences de l'assistant de soins”, sur le site web du SPF Santé publique. Cet avis a été approuvé par le Conseil Fédéral de l’Art Infirmier lors de sa séance du 4 juillet 2017 et du 6 février 2018.
Vous trouverez cet avis sur notre site web www.ugib.be ou via le lien suivant Les implants imprimés en 3D font des progrès rapides, mais sont-ils aussi sûrs et efficaces ? 16/01/2018
L'impression 3D suscite un intérêt croissant dans le secteur médical. Il n’y a cependant, d’après le Centre fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE), aucune preuve convaincante que les implants imprimés en 3D soient aussi efficaces ou aussi sûrs que des produits « classiques ». Par ailleurs, certains implants, qui ne sont pas remboursés par l'assurance maladie (INAMI) parce que jugés trop chers, ou parce que leur fabricant n'a pas encore apporté de preuve de leur efficacité, peuvent pourtant être utilisés sans restriction par les médecins, et facturés au patient ou à l'hôpital, ce dont le patient n’est pas nécessairement au courant.
Le KCE estime que le placement de nouveaux implants à haut risque imprimés en 3D devrait être limité à certains centres spécialisés jusqu'au moment où leur sécurité et leur valeur ajoutée sera établie. Enfin, pour les dispositifs imprimés en 3D dont la sécurité est avérée, l’INAMI pourrait prévoir un remboursement même si leur valeur ajoutée n'a pas (encore) été démontrée, mais alors au même niveau que celle de l'alternative « classique » déjà existante. Lire la suite sur le site du KCE Avis du Conseil Supérieur de la Santé N° 9396 sur le jeu pathologique 21/12/2017
Dans cet avis scientifique sur la politique en matière de santé publique, le Conseil supérieur de la santé de Belgique émet des recommandations sur la prise en charge du jeu pathologique.
Téléchargez les recommandations complètes en cliquant ici. Des infirmiers en pratique avancée (Master) peuvent opérer au Royaume-Uni 21/12/2017
2 octobre 2017
Au Royaume-Uni, les infirmiers peuvent suivre une formation complémentaire de deux ans pour pouvoir pratiquer des actes chirurgicaux simples en bloc Le National Health Service anglais (NHS) va promouvoir les "surgical care practitioners" (SCP), ces personnels infirmiers qui pouvaient déjà opérer sous le contrôle d’un chirurgien, mais en les autorisant cette fois à devenir autonomes et responsables de leurs actes. Après leur diplôme d’infirmiers en 3 ans, ces professionnels suivent un mastère de deux années supplémentaires. Leur rôle est d’assurer toute la prise en charge de l’opéré depuis la consultation avant l’hospitalisation jusqu’à la surveillance postopératoire, la sortie du malade et les consultations de suivi. Ils placent les perfusions, réalisent eux-mêmes l’opération au bloc opératoire et prescrivent des médicaments. Médicalement, la qualité des résultats obtenus par les "surgical car practitioners" a été évaluée identique à celle des chirurgiens. Ce partage de compétences permet de réserver aux chirurgiens le rôle de décision et d’action dans les cas complexes. Lire la suite sur le site lesEchos.fr Le portable a-t-il sa place au bloc opératoire ? 25/11/2017
Etats-Unis – Faut-il bannir les téléphones portables et autres tablettes des salles d’opération ? Aux Etats-Unis, la question se pose de plus en plus souvent après que des incidents aient été portés sur la place publique [1-3]. Certains hôpitaux et cliniques mettent en place des règlements concernant l’usage personnel des outils connectés et des sociétés savantes ont récemment mis en garde les praticiens sur le danger à laisser leur addiction à l’Internet envahir le champ professionnel, voire opératoire [4].
Lire la suite sur Medscape Nouvelles recommandations de Conseil Supérieur de la Santé sur les infections urinaires 07/11/2017
Les infections des voies urinaires (IVU) figurent parmi les infections associées aux soins les plus courantes et représentent environ 18 % de l'ensemble des infections nosocomiales en Belgique. Les cathéters urinaires à demeure chez les patients hospitalisés constituent une source importante d'infections ; ce type d’infections est à l’origine de 20 % de l'ensemble des septicémies en milieu hospitalier. Il s’agit clairement d’une préoccupation de santé publique.
Téléchargez les recommandations complète ci-dessous Défibrillateurs à usage du grand public: où les trouve-t-on et qui ose les utiliser ? 26/10/2017
En Belgique, chaque année, environ 9000 personnes sont terrassées par un arrêt cardiaque inopiné, dont 17 à 30% dans l’espace public. On assiste ces dernières années à une multiplication des défibrillateurs automatiques externes (DAE) dans les lieux accessibles au public afin de permettre aux témoins de telles situations d’administrer un choc électrique le plus rapidement possible. Mais d’après le Centre fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE), l’impact de ces appareils sur la mortalité par arrêt cardiaque restera limité dans notre pays, surtout si l’on n’améliore pas simultanément les autres étapes de la chaîne de survie. En cause, principalement, un public peu formé à intervenir et un manque de coordination dans la répartition des appareils existants.
Lire la suite sur le site du KCE Première greffe d'une valve cardiaque biologique de nouvelle génération à l'UZ Leuven 07/10/2017
La première implantation d'une valve cardiaque biologique de nouvelle génération en Belgique s'est déroulée il y a quelques semaines à l'UZ Leuven, a indiqué mercredi l'hôpital universitaire. Cette valve, étudiée à l'UZ Leuven et à la KU Leuven depuis une décennie, a une durée de vie plus longue que les actuelles.
Lire la suite sur le site de la RTBF Les hôpitaux toujours confrontés à une fragilité financière en 2016 07/10/2017
Les hôpitaux généraux en Belgique ont réalisé en 2016 un résultat courant de 94 millions d'euros, en baisse de 19 millions par rapport à 2015 (-17,2%), après une baisse de près de 30% l'année précédente. La fragilité financière des établissements de soins est toujours perceptible, selon l'étude Maha (Model for automatic hospital analyses) présentée mercredi par Belfius.
Lire la suite sur le site de la RTBF Consulter l'étude complète sur le site de Belfius Personnel hospitalier entre blues et burn-out: "On ne nous demande plus que de faire du chiffre" 26/07/2017
Une récente étude française montre que 40% des professionnels de la santé présentent un risque de burn-out. La dernière étude publiée du genre chez nous date de 2013 : chez nous, 18% des médecins hospitaliers pourraient un jour se retrouver en situation de burn-out. Comment expliquer aujourd'hui ce phénomène ?
Lire la suite sur www.rtbf.be Vers des soins de santé plus scientifiques et plus cohérents 17/07/2017
La pratique des soins de santé évolue d’année en année vers une approche plus scientifique et plus rigoureuse, suivant en cela la philosophie « basée sur les preuves » (« evidence-based »). Pour tenir les professionnels des soins au courant des évolutions scientifiques les plus récentes, des « recommandations de bonne pratique » sont développées et diffusées par diverses organisations professionnelles belges, mais il n’y a pas de cohérence dans la manière dont ce travail – de bonne qualité – est effectué (et financé). C’est pourquoi la ministre de la santé Maggie De Block souhaite optimaliser le processus grâce à un plan fédéral ; elle a chargé le Centre fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE) de coordonner la conception de ce plan. Le rapport publié aujourd’hui porte sur la première partie des travaux préparatoires, à savoir le choix de la structure de gouvernance la plus appropriée pour pouvoir aligner le travail de tous les acteurs déjà présents sur le terrain.
Lire la suite sur le site du KCE KCE : De combien de lits aurons-nous besoin dans les hôpitaux en 2025 ? 05/07/2017
Dans le cadre de ses plans de réforme du paysage hospitalier, la ministre De Block a demandé au Centre fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE) de calculer le nombre de lits dont nous aurons besoin dans les hôpitaux généraux en 2025. Il semble que nous ayons déjà une capacité trop élevée à l’heure actuelle et que cette situation va encore se marquer davantage dans les années à venir. Quelques exceptions importantes à ce constat : il manque de lits pour les patients gériatriques et la revalidation, et ces déficits vont encore se creuser. Il faut également traiter beaucoup plus de patients en hôpital de jour.
Lire la suite sur le site du KCE |
Siège social : AFISO, 95/A rue d'Heure-le-Romain, 4680 Oupeye, Belgique
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