Les précédentes recommandations du Conseil Supérieur d’Hygiène (CSH) (1995) relatives à l’entretien du matériel endoscopique nécessitaient une mise à jour de leur contenu. En effet, il est encore question dans ce document des endoscopes dits « immergeables » et on y fait principalement référence aux techniques manuelles de nettoyage et de désinfection.
De nos jours, la majorité des endoscopes rigides sont thermorésistants et doivent subir un cycle complet d’autoclavage (stérilisation à la vapeur). A l’opposé, les endoscopes flexibles (couramment dénommés endoscopes souples) sont thermosensibles compte tenu de leur conception et de leur composition (ils ne supportent pas des températures supérieures à 60 °C).
L’endoscopie flexible thermosensible est utilisée quotidiennement en routine à plusieurs fins: diagnostiques, thérapeutiques et chirurgicales.
Etant donné que ce type d’appareillage est en contact étroit avec les muqueuses et les liquides biologiques et qu’un risque de transmission de micro-organismes existe, il est apparu essentiel pour le Conseil Supérieur de la Santé (CSS) – dans le cadre de la maîtrise des infections durant les soins – d’émettre des recommandations spécifiques basées sur les connaissances scientifiques actuelles, les recommandations internationales déjà existantes, le précédent avis du CSH et les développements récents de ces technologies spécifiques. Le but final est de mettre à disposition des praticiens des recommandations pour le nettoyage, la désinfection et le stockage des endoscopes flexibles afin d’optimaliser l’assurance de qualité en pratique médicale et finalement de tendre vers le risque d’infection zéro pour les patients et le personnel.
Pour ces raisons, un groupe de travail spécifique – composé d’expertises en techniques d’endoscopie (médecin et d’infirmiers {-ères}), en hygiène hospitalière, en désinfection - stérilisation (pharmacienne), etc. – a élaboré ce document visant à mettre à disposition des praticiens (actifs dans les institutions ou privés) des recommandations réalistes, reposant sur un consensus scientifique afin de les rendre si possible applicables dans tous les types de situations.
Afin d’atteindre un niveau de sécurité optimale en suivant des règles minimales, ces recommandations invitent le praticien à rédiger sa propre procédure, à disposer d’un personnel compétent en nombre suffisant et de matériel de qualité en quantité suffisante.
De nos jours, la majorité des endoscopes rigides sont thermorésistants et doivent subir un cycle complet d’autoclavage (stérilisation à la vapeur). A l’opposé, les endoscopes flexibles (couramment dénommés endoscopes souples) sont thermosensibles compte tenu de leur conception et de leur composition (ils ne supportent pas des températures supérieures à 60 °C).
L’endoscopie flexible thermosensible est utilisée quotidiennement en routine à plusieurs fins: diagnostiques, thérapeutiques et chirurgicales.
Etant donné que ce type d’appareillage est en contact étroit avec les muqueuses et les liquides biologiques et qu’un risque de transmission de micro-organismes existe, il est apparu essentiel pour le Conseil Supérieur de la Santé (CSS) – dans le cadre de la maîtrise des infections durant les soins – d’émettre des recommandations spécifiques basées sur les connaissances scientifiques actuelles, les recommandations internationales déjà existantes, le précédent avis du CSH et les développements récents de ces technologies spécifiques. Le but final est de mettre à disposition des praticiens des recommandations pour le nettoyage, la désinfection et le stockage des endoscopes flexibles afin d’optimaliser l’assurance de qualité en pratique médicale et finalement de tendre vers le risque d’infection zéro pour les patients et le personnel.
Pour ces raisons, un groupe de travail spécifique – composé d’expertises en techniques d’endoscopie (médecin et d’infirmiers {-ères}), en hygiène hospitalière, en désinfection - stérilisation (pharmacienne), etc. – a élaboré ce document visant à mettre à disposition des praticiens (actifs dans les institutions ou privés) des recommandations réalistes, reposant sur un consensus scientifique afin de les rendre si possible applicables dans tous les types de situations.
Afin d’atteindre un niveau de sécurité optimale en suivant des règles minimales, ces recommandations invitent le praticien à rédiger sa propre procédure, à disposer d’un personnel compétent en nombre suffisant et de matériel de qualité en quantité suffisante.
Accédez aux recommandations sur le site du SPF Santé publique en cliquant ici
ou
Téléchargez les en ouvrant le fichier pdf ci-dessous.
ou
Téléchargez les en ouvrant le fichier pdf ci-dessous.